Certains prétendent que le serment que les espions ont fait à Rahab n’aurait pas dû l’être parce que Dieu avait précisé qu’aucun serment ne devait être fait aux Cananéens (Deutéronome 7:1–5; Deutéronome 20:16–18; voir Josué 9:1–27). Toutefois, le fait qu’elle a confessé sa foi en l’Éternel et qu’elle a démontré par ses actions son désir d’être associée au peuple d’Israël, indique qu’elle doit être considérée comme une Israélite et non une païenne.1 Elle a montré qu’elle était une véritable Israélite par ses actions (Josué 6:22–25; Romains 2:28–29).
12 Et maintenant, je vous prie, jurez-moi par l'Eternel que vous aurez pour la maison de mon père la même bonté que j'ai eue pour vous.