Jusqu’à maintenant, l’apôtre a utilisé le nous
dans sa lettre (1 Pierre 1:3). À la fin de 1 Pierre 1:4, il passe à la deuxième personne du pluriel, le vous
. Il gardera cette façon de faire pour le reste de la lettre. Pierre s’est inclus lui-même parmi les personnes nées de nouveau, mais en commençant à traiter des conséquences de la nouvelle naissance, il ne s’inclut plus parmi les personnes visées par son discours. Cela lui permet de souligner davantage les responsabilités et les privilèges de ses lecteurs, comme nous le verrons dans les chapitres suivants.
4 pour un héritage qui ne peut ni se corrompre, ni se souiller, ni se flétrir; il vous est réservé dans les cieux,