Il est important pour nous de cultiver l’attente du jour du Christ et de ne pas vivre comme si toutes nos espérances étaient fixées sur le monde présent. Comme l’écrivait Paul aux Romains : Nous aussi, qui avons les prémices de l’Esprit, nous soupirons en nous-mêmes, en attendant l’adoption, la rédemption de notre corps. Car c’est en espérance que nous sommes sauvés. Or, l’espérance qu’on voit n’est plus espérance : ce qu’on voit, peut-on l’espérer encore? Mais si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous l’attendons avec persévérance
(Romains 8:23–25). Dans les moments de souffrance, cette espérance constitue un grand encouragement.
10 et pour attendre des cieux son Fils, qu'il a ressuscité des morts, Jésus, qui nous délivre de la colère à venir.