Dans la traduction française que nous utilisons, l’identité de cet agneau est révélée dès le début du passage (le mot Christ
étant relié au mot sang
). En fait, Pierre a écrit, dans l’original : mais par le sang précieux, comme d’un agneau sans défaut et sans tache : Christ
. Cette formulation permet à Pierre d’attendre la fin de la phrase pour révéler à ses lecteurs à qui appartient ce sang; ils ont été rachetés par le sang du Christ, lui qui est l’Agneau parfait sacrifié sur la croix au mont du Calvaire (Hébreux 9:14).
19 mais par le sang précieux de Christ, comme d'un agneau sans défaut et sans tache;