Le mot traduit par une grâce
est le même mot que Pierre a utilisé dans 1 Pierre 2:19. C’est tout simplement le mot grec pour grâce
, c’est-à-dire, un don accordé à une personne qui mérite le contraire. Le point est que le fait d’être capable de supporter le mal, de tenir ferme lorsqu’on subit une injustice, n’est pas quelque chose qu’on fait en se fondant sur nos propres forces, mais est un don de Dieu. L’apôtre peut aussi enseigner que Dieu n’est pas loin, mais qu’il est toujours proche et que l’injustice subie se produit devant Dieu
, comme si Dieu la voyait de ses propres yeux (voir Genèse 39:2; Genèse 39:21; Actes 7:9–10).
20 En effet, quelle gloire y a-t-il à supporter de mauvais traitements pour avoir commis des fautes? Mais si vous supportez la souffrance lorsque vous faites ce qui est bien, c'est une grâce devant Dieu.