Ces paroles revendiquent un statut de prééminence dont aucun être humain n’est digne, un statut réservé à l’Éternel seul (Ésaïe 45:5–6; Ésaïe 45:18; Ésaïe 45:21–22; Ésaïe 46:9; Marc 12:32). Il est blasphématoire pour un être humain de dire de telles choses.
Le peuple de Juda a dû penser aux paroles de l’Éternel lorsqu’il a entendu ces mots. Les livres du Deutéronome et d’Ésaïe nous répètent que l’Éternel est Dieu et qu’il n’y en a pas d’autre en dehors de lui (Deutéronome 4:35; voir aussi Ésaïe 45:5).1
15 Voilà donc cette ville joyeuse, Qui s'assied avec assurance, Et qui dit en son cœur: Moi, et rien que moi! Eh quoi, elle est en ruines, C'est un repaire pour les bêtes! Tous ceux qui passeront près d'elle Siffleront et agiteront la main.