1. Sophonie 3:7 (NEG79)
  2. Explication du texte

À qui l’Éternel parle-t-il lorsqu’il dit « tu »?

Sophonie 3:7 (NEG79)

7 Je disais: Si du moins tu voulais me craindre, Avoir égard à la correction, Ta demeure ne serait pas détruite, Tous les châtiments dont je t'ai menacée n'arriveraient pas; Mais ils se sont hâtés de pervertir toutes leurs actions.

Le verbe craindre est ici, dans l’original, à la deuxième personne du féminin singulier. L’Éternel parle donc à la ville de Jérusalem. Cette affirmation est confirmée par les versets précédents. Si du moins tu voulais me craindre s’accorde en genre (féminin) et en nombre (singulier) avec la ville à laquelle il est fait référence dans Sophonie 3:1, qui est modifiée par le participe actif féminin singulier pleine d’oppresseurs et qui désigne Jérusalem. Les verbes de Sophonie 3:2 sont également au féminin singulier. Dans le texte original, le pronom possessif ses apparaît trois fois dans Sophonie 3:3, deux fois dans Sophonie 3:4, et une fois dans Sophonie 3:5, s’accordant chaque fois en genre (féminin) et en nombre (singulier) avec ceux de Si du moins tu voulais me craindre dans Sophonie 3:7.