Pierre semble supposer que sa lettre sera conservée et lue régulièrement dans l’Église. Ainsi, même après sa mort, elle servira à rappeler continuellement (Colossiens 4:16; 1 Thessaloniciens 5:27) l’exhortation qu’il a donnée.1 Sa lettre remplacera ainsi en partie sa présence. Cette idée est cohérente avec la compréhension commune de l’époque selon laquelle les lettres remplacent le discours et la présence d’une personne. Pour le destinataire, chaque lettre représente ainsi son auteur, en l’absence de ce dernier.2
15 Mais j'aurai soin qu'après mon départ vous puissiez toujours vous souvenir de ces choses.