Ironiquement, même si les faux enseignants promettent la liberté, ils sont en réalité esclaves eux-mêmes. Ils prétendent être libres du jugement, mais ils se sont plutôt assurés d’être confrontés au jugement de Dieu.1 La corruption desquels ils sont esclaves a trait à leurs désirs sexuels. Plutôt que de lutter contre leurs mauvais désirs, ils se sont abandonnés à eux et ont été vaincus. Résultat : ils sont à nouveau esclaves.2 Il y a donc un contraste entre les promesses du Christ, qui permettent aux chrétiens d’échapper à la corruption (2 Pierre 1:3–4), et les promesses des faux enseignants, qui entraînent l’esclavage à la corruption.3
19 ils leur promettent la liberté, quand ils sont eux-mêmes esclaves de la corruption, car chacun est esclave de ce qui a triomphé de lui.